Levé de soleil sur le fjord au Preikestolen

Levé de soleil sur le fjord au Preikestolen

Levé de soleil sur le fjord au Preikestolen

 

 
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Après une bonne nuit sur l’aire des campings car on a réveillé très yoyo pour aller au preikestolen parce que c’est une randonnée très touristique. Il y a 5,5 km et 400 mètres de dénivelé (peut-être même un peu moins). On trouve un super plan pour se garer sans payer. A cette heure-là il n’y personne sur le chemin trop cool on monte rapidement les marches aménagées avec des grosses pierres.

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En une heure on est au sommet après de faux espoirs de monter et de descente. Sur le preikestolen il n’y a que trois personnes qui prennent des photos c’est génial. Il y a aussi deux tentes avec des personnes qui ont passé la nuit ici mais qui dorment encore. On se fait photographier, la luminosité est parfaite.

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On fait aussi la connaissance d’un Monsieur qui est intéressé par le projet en l’air pour la terre. C’est un anglais et il peut nous aider en nous donnant des contacts ou bien plus tard si l’on va en grande Bretagne. Nicolas lui pose aussi des questions sur le brexit et il nous donne son avis sur ce qui s’est passé dans son pays. C’est très intéressant s pouvoir aborder un tel sujet d’actualité avec une personne qui est confrontée est vraiment concerné par ce vote.

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Puis la foule commence à arriver. On monte un peu pour avoir une vue sur le preikestolen et le fjord en fond et on contemple le paysage. On regarde aussi les personnes qui jouent avec leurs drones pour se photographier ou explorer la falaise.

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Lorsqu’on redescend on espère que notre voiture sera toujours là et que la fourrière locale ou la police ne sera pas passé avant nous. Sur le chemin on croise un couple de retraités français qui nous interpellent pour savoir s’ils sont bientôt arrivés. En discutant avec eux ils nous disent qu’ils ont aménagé un Partner pour dormir dedans. Exactement comme nous. Ils sont en vacances pour un mois et vont là où le vent les mène dans le nord de l’Europe. On leur donne le nom de l’application parking for night qui nous permet de savoir quels sont les parkings où l’on peut dormir. Arrivé en bas la voiture de police s’arrête à côté de notre voiture. Nicolas court et emprunte dans la voiture, la policière lui dit qu’on ne peut pas rester là et qu’il faut partir sinon elle nous met une amande. On l’a échappé belle et on a même pas payé. On prend la route dans l’après-midi pour monter à Odda et on s’arrête aux cascades sur le bord de la route. La montagne dégouline de partout c’est impressionnant toute cette eau. Le soir arrivée sur le parking de la randonnée du lendemain on comprend qu’on ne peut pas dormir ici car le parking se vide. Nicolas fait cependant de la résistance. Heureusement que la propriétaire de la maison nous autorise finalement à passer la nuit ici. Encore une fois on a trop de la chance. L’après-midi on s’arrête pour un petit vol pour Nicolas au décollage de nicostarten, je lui fais la nav.

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Le soir lavage de cheveux pour moi dans la foret. Le bonheur. Aujourd’hui on se dit que l’on commence à être vraiment au point ;).

Hike and fly au Lysbotenfjord

Hike and fly au Lysbotenfjord

Hike and fly au Lysbotenfjord

 

 
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Ce matin grosse grasse mat jusqu’à 6h30 on prend un petit dej rapido et on va se garer au parking payant. Arrivé là-bas Nicolas se renseigne sur le spot de parapente en haut de la rando. Le ranger, trop sympa nous dit qu’il y a des navettes de basejumpers et wingsuits qui montent souvent et qu’ils pourront nous montrer le déco. A ce moment la navette en question s’arrête, on demande au mec pour monter avec eux et il nous dit qu’il n’y a pas de soucis. On court chercher nos sac et pour payer le parking et le ranger nous dit « Oh don’t worry for the parking ». Trop cool 15 euros d’économisé ! La navette nous dépose 200 m plus haut à un autre départ de la rando. Le conducteur nous dit de suivre le 1er mec devant, mais il nous sème dès la première montée dans les cailloux. C’est qu’ils sont rapides ces baseux. Bon on va devoir se débrouiller tout seuls. La montée est un peu dure parce que c’est la première grosse rando du voyage mais ce qui nous rassure c’est qu’on croyait démarrer par mille mètre de dénivelé mais en fait il n’y a que 500 mètres. On monte entre les petits lacs, il y a encore de la neige par endroit c’est super beau et en plus il n’y a pas grand monde pour le moment, c’est trop cool.

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Une fois en haut, il faut redescendre un peu et marcher sur la glace pour arriver au Kjeragbolten, le fameux caillou coincé entre deux falaises et surplombant le Lysebotenfjord. C’est un peu ouf de marcher sur cette neige en plein été et encore plus dingue de se dire que l’on est dans une sorte de crevasse entre deux blocs de falaise. L’arrivée est spectaculaire car juste face à nous, il y a le caillou. On a trop de la chance car la petite brume qui cachait un peu le fjord se lève et on peut voir le bleu turquoise du fjord. Wahou, il y a même un arc en ciel !

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Des personnes, (un peu folles) vont marcher sur ce caillou pour se faire prendre en photo. Moi j’ai trop peur mais Nicolas y va.

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Ensuite, on se dépêche de remonter pour aller déplier notre voile car la brume qui se lève est en fait, en langage de parapentiste le thermique qui remonte. C’est le moment de se préparer pour décoller. Juste le temps de s’équiper et le temps change. On remplit donc notre matériel et on redescend un peu. Le temps repasse au beau, on redeplit alors notre voile plus bas et c’est parti !

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MARINE : « On a aussi un petit public qui est là pour nous regarder décoller. Beaucoup ne connaissent pas le parapente et sont vraiment très contents d’assister à ce moment. Le vol est incroyable ! 1000 mètres de gaz c’est très impressionnant ! Le fjord sous nos pieds est d’un bleu éclatant et l’on peut voir le reflet du biplace dans l’eau. C’est vraiment fou de se dire que l’on peut voir le fjord de cette façon. On parait tout petit dans entre ces immenses falaises. De là-haut on voit aussi les poissons sauter à la surface pour manger. Il nous manquait plus qu’une petite canne à pêche et on aurait pu attraper le repas du soir. Aussi je ne veux pas trop que Nicolas s’écarte de l’atterrissage car si jamais le vent ne nous pousse plus, j’ai peur de tomber dans l’eau et qui a l’air vraiment très froide. On passe devant les cascades et c’est déjà le moment d’atterrir. Mais comme on ne trouve pas l’atterrissage officiel, on va se poser l’air de rien dans un camping. Nicolas fait le chaud au-dessus des tentes et les mecs en bas flippent un peu, de peur qu’on casse tout. Une fois à terre tout le camping applaudi soulagé. » NICOLAS : « On déplit le biplace pour la deuxième fois de la journée après avoir démêlé deux trois nœuds dans les suspentes (bon ok une quarantaine) et la quand même une voile de biplace c’est assez grand à déplier surtout sur un petit décollage non officiel au-dessus du fjord mais bon on a une bonne brise de face, on lève la voile et c’est parti pour le vol dont o a tant rêvé. Et la magnifique vue sur le fjord, les falaises vertigineuses qui l’entourent et les superbes cascades. Le vol est tellement beau qu’on ne fait aucune figure pour ne pas perdre un mètre d’altitude et profiter au maximum. Un saumon nous salut et on se dit qu’au barbeuc avec un filet d’huile d’olive il passerait comme une lettre à la poste malheureusement Marine qui a bien assez de la gopro et de l’appareil photo n’a pas pu prendre la canne à pêche. Comme d’habitude pour ces vols l’atterrissage est choisi en vol après le décollage et toute façon une fois qu’on a décollé il faut bien atterrir quelque part. C’est donc avec joie et bonne humeur qu’on s’invite à l’apéro sur l’herbe verte du camping de Lysboten. C’est la première fois que l’on a un endroit aussi beau pour plier la voile. On plie et hop on va chercher une navette. »

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Ce vol trop génial effectué, on se dit que c’est maintenant la partie galère qui va commencer car il faut remonter en stop or les vans ou voitures qui viennent ici sont full. Deuxième coup de chance de la journée, il passe une navette privée 16 places qui nous propose de nous remonter gratuitement. Aller hop on monte. Sur le trajet le mec est très bavard et content de pouvoir discuter avec Nicolas pendant que moi je fais un petit dodo. Cette journée m’a vraiment épuisée mais elle est loin d’être terminée.

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De retour au parking, on s’attend à payer car le ranger a changé mais non encore une bonne surprise il nous laisse partir tranquillement. On n se dit que l’on a veut vraiment beaucoup de chance aujourd’hui. Après mangé, au moment de faire la vaisselle on ferme le coffre de la voiture et la surprise, la clé est restée à l’intérieur et l’on a une fermeture automatique. C’est le drame parce que le double des clés est aussi dans ma veste qui est restée dans la voiture ! On se dit alors qu’il faut casser une vitre mais que ça va être très embêtant pour la suite du voyage… Heureusement notre voisin camping-car a des outils. Je réussis à glisser ma main par la fenêtre entrebâillée et j’ouvre la portière. Houra on va pouvoir faire un bon dodo.

Premier vol biplace au pays des Fjords

Premier vol biplace au pays des Fjords

Premier vol biplace au pays des Fjords

 

 
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On décide de passer par un spot de parapente repéré par Nicolas pour voir si sa le fait. On galère un peu à trouver le décollage. Finalement après avoir sonné à une maison le monsieur nous donne toutes les indications dont nous avons besoin. Il faut se garer au parking d’un hôtel monter un peu à pied et voler jusqu’en bas d’un fjord. Ok on prend le bi gradient, nos sacs Kortel, nos lunettes Altitude et en route. Arrivé au décollage, je trouve qu’il y a du vent. On hésite à s’équiper puis finalement on redescend et puis non finalement on remonte et hop on met nos sellettes on sort la voile et c’est parti. Et là comment dire c’est chauud !!

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MARINE : « la voile nous tire par l’arrière et nous remonte mais elle n’avance pas. Mes pieds ne touche plus le sol, je ne peux rien faire est en même temps je vois un rocher à ma droite qui risque de faire mal. A ce moment-là je me dis que je préférerais tomber dans les arbres. Heureusement le vent nous pousse et on décolle ouf ! Le vol ne dure pas longtemps mais c’est quand même incroyable de voler en Norvège. L’atterrissage tout aussi chaud se fait sur une place de parking à côté d’un camion bref riche en émotion. En plus à peine on touche le sol que l’on est assaillit de question par des syriens norvégiens c’était vraiment trop improbable mais génial comme premier jour. »

NICOLAS : « Après une magnifique montée on trouve enfin le décollage qui surplombe le premier grand fjord que l’on voit avec une luminosité magnifique. Le décollage est super beau mais il y a un peu de vent et il est un peu d travers. On se dit donc que ça ne sert à rien de déballer tout le matériel un petit plouf puis après deux minutes de descente on se dit que en fait si. On déballe le matériel, j’accroche Marine et on fait un gonflage face voile. Là on se fait bien arracher et on finit 5 mètres derrière mais avec la voile au-dessus de la tête. Je mets un peu de frein et on décolle. C’est le premier vol au pays des fjords, c’est super beau et ça vaut vraiment le coup. Il y a pas mal de vent du coup on « crabe » jusqu’à l’atterrissage. Je voulais atterrir sur le terrain de foot mais un mec en bleu me fait des grands signes.  Je pense alors qu’il me dit qu’il est interdit d’atterrir sur ce terrain, mais on apprendra ensuite qu’il était juste super content de voir un parapente. Du coup on choisit un petit parking à coté qui sera notre terrain d’atterrissage. Heureusement que Marine me signale qu’il y avait un petit van en dessous parce qu’à deux suspentes près on se prenait. L’atterrissage est assez facile parce qu’il suffit de se mettre au-dessus du parking parce que le vent est tellement fort qu’on descend sans avancer. Après l’atterrissage une dizaine de personne vient nous voir et nous poser des questions. Ce sont en fait es refugiés syriens qui sont supers contents de voir un parapente et surtout d’être en Norvège. C’est une chance incroyable de les rencontrer pour en savoir plus sur leur périple depuis la Syrie et comment ils ont atterrit ici. Ils sont supers sympas, très intéressants et ils nous invitent à manger chez eux le soir mais on doit reprendre la route pour aller au point de randonnée du lendemain donc on commence à faire du stop sans trop savoir si ça va marcher. Après une dizaine de voitures, deux jeunes norvégiens dans une Audi rouge s’arrêtent et nous remonte jusqu’au point de décollage. C’est parfait ! En discutant avec ces deux étudiants, ils nous apprennent qu’il y a un système de prêt par le gouvernement norvégien pour leur permettre de recevoir « un salaire mensuel » pendant leurs études (env. 1150 euros). Ce prêt ne doit pas être remboursé s’ils obtiennent leur diplôme. Grosse pression ! ».

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Arrivée en Norvège par le Ferry

Arrivée en Norvège par le Ferry

Arrivée en Norvège par le Ferry

 

 
Arrivé par le bateau* à 13h en Norvège, la première chose que l’on fait est très originale, oui oui on appelle les urgences locales pour savoir si on peut y aller montrer la morsure de tique de Nicolas. Réponse d’un docteur non ce n’est pas la peine sauf si vous êtes malade : – Etes-vous malade ? Réponse de Nicolas : – Non donc pas de docteur pour vous recevoir. Bon nous voilà rassuré, on part tranquillement pique-niquer sur une aire d’autoroute ou des norvégiens très curieux viennent carrément regarder dans notre coffre. Ils sont pires que les allemands dit donc. Nous visitons Mandal, premier village conseillé par le guide du routard. C’est très joli mais ce n’est pas ouf non plus. Nous ce qu’on veut voir c’est un village au bord de l’eau avec pleins de petites maisons rouges et blanches. Il n’y avait qu’à demander car en continuant à rouler, les paysages nous surprennent de plus en plus. Il y a de l’eau partout (trop génial des douches gratuites). Sous forme de mers, de lacs ou de rivières avec des petites îles de forêts, c’est superbe !!

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Sur la route, on décide aussi de passer par un spot de parapente repéré par Nicolas pour voir si sa le fait. Et hop premier vol biplace au pays des Fjords (cf. article). Après notre vol, on continue de rouler direction le lieu de la randonnée du lendemain : le départ pour le Kjeragbolten. La route est sensationnelle et je pèse mes mots ! Il y a des petits lacs de partout, ça monte puis ça descend et il y a aussi de grands virages c’est vraiment splendide. On s’arrête faire des photos, il y a aussi des moutons partout. Bref on choisit un lieu très bien placé pour se garer pour la nuit et être dans les starting blocs pour la rando du lendemain.

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A peine couché on entend du bruit autour de la voiture. Au début on se demande ce que c’est (je pensais que c’était des feux d’artifices pour la victoire de la France contre l’Irlande) mais non on comprend avec le bruit d’une clochette qu’en fait ce sont des moutons qui s’acharnent à taper sur nos jantes alu. Trop bling bling ces moutons !

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* Nous avons prit la Fjord Line pour faire Hirstshals – Kristiansand par le biais du site aferry. La traversée dure 2h15 et le départ se fait à l’heure.

A Skagen : lieu de rencontre de deux mers

A Skagen : lieu de rencontre de deux mers

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A Skagen et plus précisément à Grenen il faut marcher quelques minutes sur la plage pour arriver au point le plus au nord du Danemark la oú la Mer du Nord et la Mer Baltique se rencontrent. Il n’y a pas grand-chose à voir car ce lieu est plutôt symbolique et surtout très touristique, mais nous ne regrettons pas de l’avoir fait car la mer très agitée laisse deviner que des vagues viennent de la gauches et d’autres de la droite. Il y a aussi deux couleurs différentes dans la mer qui pourrais nous faire croire que la mer bleu turquoise est la mer du Nord et la mer plus bleu foncé, la mer Baltique (bon d’accord il faut un peu d’imagination pour penser cela). Sur la plage, on cherche de l’ambre qui est un fossile de sève d’arbre prisonnière dans un caillou et ramène sur la plage par les vagues. Avec Nicolas on trouve beaucoup de pierres qui sont selon nous de l’ambre mais comme on ne sait pas vraiment ce que c’est, il est fort possible que notre butin ne soit en fait que des simples galets.
 
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Ensuite, on se rend au phare de Hirsthals. Il y a beaucoup de vent au sommet donc on redescend pour se chercher un endroit pour planifier notre arrivée en Norvège.
 
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Le soir Nicolas nous cuisine du riz (dit comme ça cet épisode paraît bête mais en fait c’est très marrant). On a assez faim donc il nous fait cuire la moitié du paquet soit 500g de riz au champignons (ce qui est énorme, même en Thaïlande je crois qu’on a pas mangé autant de riz en 1 jour à deux). Bref on se retrouve avec une casserole qui déborde de riz, devant le match de l’euro Allemagne-Italie tandis que tous les autres sont à la bière.
 

Thy national park : partie 2

Thy national park : partie 2

Thy national park : partie 2

 

    Ce matin nous partons visiter le « wind turbin center » à Østerild. C’est un centre de test pour les éoliennes de grande puissance. Il comprend 7 éoliennes appartenant à différentes entreprises qui testent ici leurs turbines car ce lieu est soumis à des vents très forts qui reproduisent bien ceux qu’ils y a en mer. Nous avons droit à une visite privée avec le responsable du site, en 4x4. Il ne souhaite pas donner une interview mais il répond à toutes nos questions et nous arrête au pied de chaque éolienne pour qu’on la photographie. Cette visite était vraiment incroyable et impressionnante car nous avons vu la plus puissante éolienne au monde qui produit 8MWH et qui n’existe qu’en 3 exemplaires. DSC_0221 Ensuite, on se dépêche d’aller à un autre rendez-vous au wavesturbine center (DanWEK) à Hanstholm oú Cristian nous attend. Une fois arrivé, on est super bien reçu, il accepte de donner une interview et même de faire du parapente si les conditions sont bonnes (ce qui ne fut malheureusement pas le cas, mais il nous assure qu’il viendra un jour en faire dans les Alpes). Il nous explique tout ce qu’il fait et il nous emmène dans un super endroit pour réaliser l’interview et avoir une vue sur la zone marine que le centre utilise. Le wavesturbine center met à la disposition d’entreprises ou de chercheurs des capteurs dans l’eau pour la production d’électricité à partir de la force des vagues. 20160630_132002 Ce Christian, assez mystérieux est plein de ressources et nous a donné beaucoup de contacts pour le projet ainsi que pleins de bons plans de lieux à visiter et surtout il nous a réservé une nuit dans un phare. Comme conseillé, nous allons donc aux Hanstholm bunkers qui sont des restes d’anciens bunkers construit par les danois durant la seconde guerre mondiale pour se protéger contre les … mais qui n’ont jamais servit. Ces immenses cachettes en béton sont aujourd’hui recouvertes par la mer pour la plupart mais quelques unes trônes encore sur la grande plage de sable. On se croirait dans « Hunger Game ». DSC_0273 IMG_0937 DSC_0260 Certains bunkers sont tagués : un ressemblant à un requin, un autre à un bonhomme chevelu. C’est très marrant et très joli car ces tags sont bien fait. Aussi, nous avons pu rentrer dans un bunker qui a, à son sommet une petite maisonnette jaune qui fait office de salle pour parler. Vraiment trop cool ! DSC_0316 DSC_0312 IMG_0945 Enfin, nous partons à la recherche pour la deuxième fois de Krondyr (deer) dans les grandes prairies du national park de Thy. On ne peut cependant pas s’approcher et notre promenade se termine à un observatoire car la zone est interdite d’accès pour les hommes. Le paysage est extra : forêts sur les côtés, prairie devant nous avec des herbes hautes un peu rosées et au fond il y a les dunes, la plage et la mer. Décidément, le Danemark nous a vraiment conquis. IMG_0964 DSC_0352 Le soir on rentre dans notre château ou plutôt notre phare de Tårnvej (mais il y a quand même 4 chambres deux salles de bain et deux salons rien que ca) pour faire des lessives. Nicolas part faire du soaring et en revenant, il se rend compte qu’il a une tique dans le dos, malheur, c’est la fin du monde car il regarde sur internet toutes les maladies transmises par les tiques et il croit qu’il va mourrir. Bon comme on est fatigué on va se coucher et on cherchera une solution le lendemain. DSC_0001