Se sentir à Feldheim comme à la maison

Se sentir à Feldheim comme à la maison

Se sentir à Feldheim comme à la maison

 

Ce matin on prend le ferry pour quitter le Danemark, direction Rostock en Allemagne. Ca y est on quitte les pays Nordiques avec un petit pincement au cœur.

Une fois débarqué en Allemagne on doit se dépêcher de rejoindre le sud de Berlin car nous avons planifié la visite du village auto suffisant de Feldheim. Comme on est assez en retard, on ne s’arrête même pas pique-niquer  et l’on mange dans la voiture. 4 heures plus tard nous voilà arrivé dans un village de campagne, avec une avenue principale autour de laquelle sont alignées les maisons et l’on voit une grande coopérative fermière ainsi que des éoliennes. Dans la rue il n’y a pas grand monde, et l’on se demande où l’on est tombé. Sort alors d’un grand bâtiment tout neuf un vieux Monsieur qui nous parle en Allemand puis un second avec un chapeau qui parle cette fois anglais et français. Quelle chance. On le suit puis l’on arrive dans le fameux bâtiment tout neuf qui est en fait le visitor center du village. On rencontre ainsi Dorine, la responsable du centre avec qui nous avions prit contact. Elle nous accueille super bien puis nous présente les autres personnes qui sont avec elle. Son frère qui fait du parapente, le patron de Energiequelle gmbH puis le vieux Monsieur qui est un des plus ancien habitant du village et enfin le Monsieur au chapeau qui est chargé de communication. Wahou on ne s’attendait pas à tous ce monde et au départ on a un peu de mal à comprendre qui fait quoi. Ils nous proposent de prendre un thé et de manger des gâteaux dans une grande salle de réunion. Ils nous expliquent alors le fonctionnement du village, répondent à nos questions, puis nous faisons le programme des interviews à réaliser. Pour détendre l’atmosphère, Nicolas parle parapente avec le frère de Dorine qui a été rejoint par sa femme et ses deux filles ainsi qu’un garçon. Quand on a bien mangé, on se lance pour la réalisation des interviews.

dsc_0911

Pour la première interview, nous interrogeons le PDG de Energiequelle gmbH qui est vraiment très gentil. Puis nous posons des questions au vieux Monsieur, habitant du village qui ne parle pas anglais. On se demande donc comment allons-nous faire pour traduire de l’allemand puisque ni Nicolas, ni moi ne parlons un mot de cette langue. Heureusement, la fille du frère de Dorine parle un peu le français et surtout, le garçon qui les accompagne est en fait un français qui passe ses vacances dans cette famille. Quelle chance. On décide donc de réaliser l’interview à trois : Nicolas qui pose les questions en français, le garçon qui traduit la question en allemand, le vieux monsieur qui répond en allemand puis le garçon qui retraduit en français la réponse à Nicolas. Cette configuration semble bien fonctionner mais le problème c’est que le monsieur commence à nous raconter l’histoire du village de Feldheim à partir de la seconde guerre mondiale. Je crois que c’est à cause du stress de la caméra. On recommence donc l’interview et la deuxième tentative est la bonne.

Pour la troisième interview, Dorine nous explique la naissance de son centre d’information. Son rle est d’accueillir des personnes ou de groupes venus des quatre coins de la planète, pour en savoir d’avantage sur le fonctionnement du village autosuffisant. Enfin, le chargé de communication, très professionnel, quoique un peu blagueur, répond à nos question pour la dernière interview.

Après les interviews, le PDG nous propose d’aller voir le parc éolien de plus près. On part alors en van aménagé. Oui oui en van aménagé vous avez bien lu. Celui-ci appartient à la famille du frère de Dorine. Son camion est énorme, on est un peu jaloux avec Nicolas. On monte à 9 dans le van et hop on roule. On a alors l’impression de partir une seconde fois en vacances avec notre nouvelle famille. C’est génial. Arrivé au pied des éoliennes, le PDG nous a rejoint et nous ouvre les portes d’une éolienne pour une visite. On est trop content c’est la première éolienne dans laquelle nous rentrons et à l’intérieur surprise : elle est bien vide. Il n’y avait que quelques câbles bien rangés puis un ascenseur pour monter au sommet de l’éolienne par l’intérieur et un tableau pour indiquer la production de l’éolienne, sa puissance… On pose pleins de questions et on nous répond. Pour clôturer cette visite on finit par une belle photo de famille devant l’éolienne et puis l’on reprend la route un peut à contre cœur, direction l’Autriche.

dsc_0916

dsc_0909

Sur la route on n’en revient toujours pas de cette rencontre avec ce village et cette famille allemande. C’était vraiment une incroyable surprise et une grande chance que de tous les rencontrer. D’ailleurs, le rendez-vous est pris pour se revoir car ils viendront dans les Alpes en octobre pour voler en parapente et découvrir nos montagnes.

Pour gagner l’Autriche, la route est longue et on finit par se coucher sur une aire d’autoroute au milieu des camions après avoir bien roulé car on est épuisé.

Rouler d’Eglises en Eglises pour se rendre aux falaises de granite de l’ile de Møn

Rouler d’Eglises en Eglises pour se rendre aux falaises de granite de l’ile de Møn

Rouler d’Eglises en Eglises pour se rendre aux falaises de granite de l’ile de Møn

 

 

Sur l’île de Møn nous empruntons la route des Églises. Il y a 5 Églises à visiter qui datent du XIe-XVe Siècle. Leurs particularités et points communs sont les peintures sur les voûtes intérieures. Dans ces églises de brique il n’y a pas de vitraux mais des peintures de scènes de la bible, toutes réalisées par le même peintre ou le même atelier de peinture.

31Keldby

 32  Elmelunde

33

30Borre

34Magleby

35Fanefjord

37

36

Nous avons aussi fait une randonnée à Møns Klint pour aller voir les falaises blanche de calcaires qui surplombent les plages de galets gris. Nous nous garons donc au phare, bien après le géocenter pour ne pas payer le parking et remontons à pied. Nicolas emporte son parapente au cas où il y ait une petite place pour décoller et faire du soaring le long des falaises. Malheureusement, le chemin qui longe la falaise est abrité par la foret épaisse qu’on ne peut même pas apercevoir la mer. Il faut donc attendre de descendre par un escalier pour atteindre la plage 100 mètres plus bas pour contempler l’impressionnante falaise.

38

40
39

Nous descendons les 497 marches pour arriver sur la plage. Les falaises ne sont pas très hautes : 128m au-dessus du niveau de la mer mais elles sont quand même impressionnantes. La marrée est haute ce qui nous empêche de faire le retour de la balade en longeant la mer. On reprend donc le même chemin qu’à l’aller.

43

DCIM100GOPROG0055350.

41

Nicolas qui a toujours envie de sortir son parapente à dégoté sur paragliding earth un super site de soaring en bord de plage. On s’y rend donc pour voir comment c’est. Et la super surprise, l’endroit est desert est splendide. On décide de passer la nuit ici pour profiter de la vue magnifique sur la mer.

45

44

46

Le lendemain matin un monsieur promène son chien sur la plage et nous regarde avec un air pas très content. On pense alors qu’il va venir nous gronder pour avoir passer la nuit ici. En fait il s’approche de nous et se met à nous parler en français, c’est un fermier qui habite juste à côté et qui avait apparement très envie de discuter avec des étrangers. Il est vraiment adorable et nous raconte qu’il fait beaucoup de vélo et va faire un circuit dans les alpes et en France au printemps prochain. Une fois parti c’est deux dames qui promènent leurs chiens qui viennent discuter avec nous. On reste un peu bêtes car on pensait que les voitures qui dorment vers les maisons font peur aux habitants mais finalement Pas tant que ca, les suédois aiment la visite.

47Vue du matin sur la plage.

48

 

INFOS UTILES

Où dormir à Møn?

Nous avons dormi devant la plage sur au sud de l’ile de Møn à coté d’une table de pique nique, au bout d’une route en gravier, face à la mer.

Coordonnées GPS : 54.938636, 12.283146

Découvrir Copenhague à vélo

Découvrir Copenhague à vélo

Découvrir Copenhague à vélo

 

 
Après l’interview de Roskilde on se rend dans le centre de Copenhague pour la deuxième interview. Cette fois on est un peu en retard donc on essaie de se garer au plus près du rendez-vous pour ensuite louer un vélo pour se déplacer et être à l’heure. Ce que l’on avait pas imaginé c’est qu’à Copenhague, il est vraiment très très difficile de rouler en voiture car tout est étudier pour les vélos et les piétons. Ils ont la priorité sur les voitures. On se retrouve donc vite dans des rues à ses unique en contre sens puis les piétons qui marchent devant notre voiture nous empêche de dépasser les 3 km/h. Heureusement on trouve un parking sous terrain pour se garer rapidement. Ouf on est à l’heure ! enfin presque car Nicolas à une envie pressante et part à la recherche des toilettes en me laissant au milieu du parking sous terrain. Je pars alors à sa recherche mais une fois sortie dehors, les portes coulissantes se referment sur moi et impossible de les réouvrir sans le ticket du parking. Je me retrouve donc devant les baies vitrées à attendre Nicolas ou une personne qui déclencherait la porte mais personne ne sort ou rentre. Comme c’est aussi moi qui a nos deux telephones, je n’ai aucun moyen de le joindre. Super il ne me reste plus qu’à l’attendre en espèrent qu’il prenne la même sortie du parking que moi. Dix minutes plus tard revoilà Nicolas tout content. Allez hop on ne perd pas une seconde et on part à pied dans les rues de Copenhague pour retrouver notre rendez-vous. C’est dans ses moments la que l’on se dit « vive google maps ».

La seconde interview se déroule à merveille. On apprend comme toujours beaucoup de choses comme le fait que les éoliennes tournent automatiquement sur elles-mêmes pour orienter leurs pales dans le sens du vent ensuite ou que l’on peu combiner l’énergie des vagues et celle du vent des éoliennes off-shore pour avoir une production d’énergie continue sans avoir à passer par du stockage.

Apres les interviews nous avons quartier libre pour visiter la ville. On loue donc deux bicyclettes et nous partons un peu à l’aveuglette explorer la ville.

DCIM102GOPROG0085298.

Nous avec nos vélos

On passe devant la plupart des grands monuments de la ville. On passe d’abord devant les jardins de Tivoli, le parc d’attraction installé en 1843 ans en plein air dans la ville, puis nous passons devant le Musée national du Danemark, le Chateau de Christiansborg, Les jardins de la bibliothèque royale (qui sont aussi une énorme arène Pokémons).

12Jardins Tivoli

13

14

Nous sommes aussi allé visiter le quartier de Christiania. Ce quartier assez connu, appartient à une communauté autonome à l’intérieur de laquelle le « shit » est légal et se vend sur des étalages en bois. Les photos y sont interdites et la plupart des dealers sont masqués. C’est vraiment impressionnant et bizarre. L’ambiance est néanmoins assez peace and love avec des tags colorés sur les murs et des chanteurs à tout les coins de rue. C’est une toute autre ambiance que celle de Copenhague mais il faut vraiment y aller juste pour voir.

15Entrée du Quartier de Christiana

16Tags à l’intérieur de Christiania

Puis nous roulons aussi jusqu’au Churchilparken pour voir la petite sirène. On est assez déçu car elle est vraiment toute petite.

17

Puis nous faisons une pause glace dans sur le quai branché de Nyhavn.

18

19

20

Enfin, pour boucler notre tour de la ville on passe devant le Chateau de Rosenborg et les jardins Kongens Have et Botanisk Have.

21

22

Après avoir pédalé pendant 4h on rend nos vélos et on quitte la ville pour se rapprocher du parc éolien off-shore à propos duquel nous avons eut le second rendez-vous, pour le photographier car malheureusement on a été invité en Guest Star pour le visiter en bateau mais comme nous partons demain nous ne pouvons pas profiter de cette visite guidée.

23Photo prise depuis la plage de Amager Sand

 

INFOS UTILES

Où se garer à Copenhague ?

Il y a plusieurs Q-Park dans Copenhague qui sont quand même relativement chers. Nous nous sommes personnellement garés au Q-Park Nørreport qui se trouve en plein centre de Copenhague et qui coûte 30 DKK l’heure.

Où louer un vélo à Copenhague ?

Il ne faut pas se fier au guide du routard qui propose que quelques loueur de vélo alors qu’il y en a vraiment partout dans la ville. A vous ensuite de comparer les prix mais globalement un vélo se loue entre 70 et 100 DKK la journée. Il est aussi possible de louer des vélos à l’heure mais cela est moins intéressant si vous envisager de rester plus d’une demi journée.

Où manger une glace à Copenhague ?

Le quai Nyhavn est pleins de bars restaurants, glaciers et autres. C’est le lieu privilégiés par les touristes pour faire une pose.

Longer la mer Baltique danoise et simplement s’y baigner

Longer la mer Baltique danoise et simplement s’y baigner

Longer la mer Baltique danoise et simplement s’y baigner

 

Nous voila de retour au Danemark car nous avons deux rendez-vous de programmés à Copenhague. 

Après avoir emprunté le pont de qui relie Malmö à la Sealand danoise nous montons au nord de Copenhague pour voir les plages de ce coté de la mer Baltique. On se rend donc à Hornbæk sur la « Danish Riviera » pour voir ses belles plages de sable blanc.

Pendant deux jours on profite encore de la mer pour faire des grandes parties de frisbee et des siestes. La mer est toujours chaude et le soleil tape. Le soir, nous dormons sur le parking de la plage et nous assistons à un spectaculaire coucher de soleil rouge. Après le lever de lune en Suède. C’est magique !

2

3

4

5

Après un moment de détente à Hornbæk, on doit se rendre à Roskilde pour la première interview car nous avons rendez-vous avec un ingénieur de la Danish Technical University (DTU) qui doit nous parler de l’éolien au Danemark. Il est très intéressant et nous explique qu’il s’investi beaucoup pour améliorer la communication sur les énergies renouvelables. Dans son bureau, une gigantesque éolienne en lego attire notre attention avec Nicolas et nous amuse car à notre sens les deux fiertés du Danemark sont réunies ici : les éoliennes et la marque Lego.

6Pont reliant Malmö à Copenhague : l’Oresundbron

7Arc en Ciel

8 Balade du soir à Roskilde à côté du park4night

9 Gros escargot de Bourgogne avec qui nous avons partagé une crêpe

10Eolienne test de la DTU

INFOS UTILES

Où dormir à Roskilde ?

Park4night mit à la disposition par la municipalité de Roskilde avec poubelles et endroits pour camping sauvage avec emplacement pour feu de bois. A proximité de balades.

Cordonnées GPS : lat. 55.7212 long. 12.1127

Visite de Malmö la ville du futur

Visite de Malmö la ville du futur

Visite de Malmö la ville du futur

 

Avant de quitter la Suède nous nous arrêtons à Malmö et nous visitons d’abord le quartier Västra Hammen qui est l’éco-quartier de la ville.

dsc_0633

dsc_0612

Nous sommes allez au pied de la Turning Torso qui est la tour emblématique de la ville. Cette construction date de 2005 et mesure 190 mètres de haut. Elle a été réalisée par l’architecte Santiago Calatrava Valls. Il s’agit d’un empilement de 9 cubes qui s’imbriquent en tournant de sorte que son sommet est décalé de 90° par rapport à sa base. Très impressionnante.

dsc_0608

dsc_0605

Nous réalisons aussi un éco micro trottoir à l’entrée de l’éco-quartier juste derrière la Tour. C’est très amusant. Au départ on est un peu gêné d’essuyer des refus assez froid puis ensuite un Monsieur âgé accepte de jouer le jeu ce qui rebouste notre confiance pour demander à d’autres personnes de nous accorder quelques minutes. Finalement nous avons des personnes vairées qui ont répondu à nos questions : des femmes et des hommes : un retraité, une institutrice, un architecte, une maman et une étudiante en architecture ainsi qu’une dame qui louent des maisons. Au total 6 personnes on répondus à nos questions en une heure ce qui est un très bon résultat pour une première fois.

micro-trotoir-malmo

On poursuit notre visite de la ville qui est très étonnante. Elle est très aérée avec des immeubles de petite taille mais aussi parce qu’il y a des canaux partout. La plage arrive au pied de la ville et il y a des aires de baignade avec des grandes pelouses pour bronzer. Pour un dimanche, il y a relativement peu de monde dans la ville et l’atmosphère est détendue.

dsc_0619

dsc_0625

dsc_0629

Avant de prendre le pont-tunnel de l’Öresund pour le Danemark on va se perdre dans les quartiers résidentiels pour aller prendre en photo les éoliennes off-shore. On pose notre voiture dans une rue et on prend un chemin dans les marécages qui nous mène à un observatoire. La vue est sublime, on voit le pont de Copenhague, les éoliennes, les voiliers sur la mer, les oiseaux venus se reposer dans les marécages et les villes de Copenhague et Malmö qui se font face.

dsc_0643-copie

dsc_0648

Nous avons aussi réalisé une interview à Dalby dans la maison chez Goran qui nous as accueillit avec son épouse dans leur magnifique maison. Leur jardin est tout en fleurs et les oiseaux chantent, c’est un super cadre pour l’interview ! Au moment de partir, ils nous offrent le livre philosophique : « Dix réflexions à propos du temps », écrit et dédicacé par sa femme Bodil qui est une réflexion sur le temps qui passe. Ce ivre a été un best seller en Europe il y a une dizaine d’années. On est très touchés.

Avant de quitter la Suède, la Scanie nous a conquis

Avant de quitter la Suède, la Scanie nous a conquis

Avant de quitter la Suède, la Scanie nous a conquis

 

 

A Kaseberga on visite le petit village ou il n’y a que des restaurants. On rencontre aussi deux parapentistes suédois, reconnaissables à leur T-shirt sup’air. Ils nous expliquent où ils volent dans le coin. Le lendemain on se rend donc au site de soaring qui se trouve en haut des grandes dunes d’herbes qui surplombent la mer et qui se trouvent juste à côté du site historique de Ales Stenar où trônent 59 pierres plantées à la verticale dans l’herbe et qui semble dessiner un bateau viking. Nous visitons se lieu au coucher du soleil ce qui donne un petit côté mystérieux à ce lieu.

DSC_0511

DSC_0513

DSC_0530

DSC_0525

DSC_0534

Nous passons deux nuits sur le parking de l’immense plage de sable blanc de Sandhammarenn. C’est d’ailleurs la plus belle plage de Suède et nous ne le savions même pas car cette plage n’est pas du tout remplie de monde par rapport aux plage du Sud de la France. Sur cette plage nous nous sommes reposés, baigné, et joué au fresbee pendant des heures.

ATTENTION tout de même car il y a de forts courants et personne ne surveille la baignade. Il faut donc être vigilant aux petites marées.

dsc_0130

dsc_0164

dsc_0151

Le soir nous avons assisté à un magnifique levé de lune. C’est là qu’on réalise la chance que l’on a de pouvoir dormir où l’on veut car on peut profiter de chaque instant magique que nous offre la nature.

dsc_0551

dsc_0580

Cette lune rose puis jaune puis blanche est grosse comme un ballon de basket sort de l’eau lentement devant nous puis monte dans le ciel. On en reste bouche bée.

dsc_0582

dsc_0557

dsc_0591

Nous avons aussi visité Stenshuvud National Park pour se balader au frais sous les arbres et ne pas avoir trop chaud. Puis nous nous sommes baignés sur la plage  paradisiaque.

dsc_0001

dsc_0017

dsc_0038

dsc_0053

dsc_0060

En longeant la mer, nous avons vu beaucoup d’oiseaux marins migrateurs venu se reposer dans l’eau, près des plages.

dsc_0065

dsc_0097

dsc_0120